vendredi 21 août 2015

#2 Sarah


Notre rencontre à tout d'une idylle. Un soir d'hiver dans la boite de nuit "l'Atlantide" situé sur le parking du Carrouf de Sens dans l'Yonne. J'avais alors un look tout à fait travaillé pour ce genre d'endroit : chaine en or, diam's à l'oreille, et bien évidemment le fantastique t-shirt "vodka connecting people". Savant jeu de mot mélangeant Nokia et vodka.. non?

Bon d'accord j'étais un beauf.

passé porte d'Orléans, la population masculine commence à changer


Quoiqu'il arrive v'là t'y pas qu'après avoir dansé comme un boloss toute la soirée sur les tubes des années 2000 et avoir bu des vodkas-pommes dégueu je me lances alors dans la recherche désespérée d'une partenaire sexuelle. Certes je ne suis plus puceaux depuis 6 mois, mais quand même j'aurais bien voulu tremper ma nouille encore une fois.

Et c'est la que je rencontre Sarah. Aaaaah Sarah! Cette bonne petite beauf provinciale! étudiante en CAP caissière à Auchan,elle avait cette fraicheur et cette débilité dans le regard qui m'attirait. Je me lança, et la chopa en deux temps trois mouvements. Rien de sexuel le soir même. La bougresse faisait la difficile.

La population féminine change un peu également une fois le périph' passé


Je la revit la semaine d'après, toujours au même endroit, et ce coup ci elle me accepta de me suivre pour une escapade romantique dans ma 306 injection. On alla sur le parking du Lidl histoire de changer et on fit l'amour comme des babouins toute la soirée. Elle était vierge et voulait tout connaître, tout dans la même soirée.

Je resta 3 ans avec cette écervelée, on habita ensemble, elle travailla au mcdo, et parti avec un mongol dans son genre. Dieu merci, j'étais à deux doigts de niqué ma vie avec cette dégénérée.

mercredi 19 août 2015

#1- Çendan

Mes hormones ont commencées à se développer à 11 ans, et j'aurais juré à l'époque passer à l'action la même année. 7 ans d'acnés plus tard, me voilà pour ne rien arranger dans un lycée presque uniquement masculin, et j'ai de gros doute sur le fait de me faire dépuceler un jour. Voila que j'ai 18 ans, et je n'ai toujours rien fait, l'attente commence à être longue...

Mon père me propose cette année la de partir dans un club de vacances en Turquie. Une jeune stambouliote y travaille cet été  là, Çendan, prononcez "djendan". Elle était petite, un peu boulotte, et avec un nez proéminent. Mais, contrairement à toutes les autres femmes de la planète elle avait un quelque chose de différent : elle n'avait pas l'air insensible à mes charmes. Je m'en été rendu compte un soir où elle était en face moi à table. Je me roulais une cigarette façon cowboy, et léchais allègrement le papier, mimant de manière peu subtile un cuni. Et bien ça marchait! C'est une des premières choses que j'ai appris avec elle, plus c'est débile plus ça marche avec les filles.

Le soir même on s'embrassait, je pris espoir dans le fait de perdre ma virginité, jusqu'à ce qu'elle m'explique qu'elle avait ses règles... A l'époque moi je m'en foutais! Je voulais juste tremper mon biscuit! Les dieux étaient contre moi... Je du attendre l'avant veille de mon départ pour que ça s'arrête.

Je l'emmenait dans ma chambre, où je liais le lit de mon père au miens pour pouvoir en faire un grand lit. Elle se déshabilla, et ce fut là la première fois que j'avais une femme nu devant moi. Je pouvais enfin faire tout ce que j'avais toujours voulu. J'y allait direck! La main au panier! Suivit du petit cuni post menstruel! Je pouvais plus attendre, je commença à la niquer.

23 secondes plus tard, s'en était fini. Je cherchais déjà à savoir comment m'en débarrasser. Le surlendemain je repartais, je prétexta une excuse bateau pour ne pas lui donner mon adresse ou mon téléphone. 10 ans plus tard je suis toujours aussi peu subtil quand je cherche à m'échapper.

Elle était peut être pas parfaite, mais elle restera à tout jamais la première à avoir mangé mon chibre.